Petites réflexions

Charles Baur m'avait expliqué qu'à chaque fois qu'il venait à Villers (lorsqu'il n'était plus maire), faisait un tour pour voir les travaux en cours. 
Rien d'étonnant, c'était un maire bâtisseur qui a contribué de façon très importante au développement de notre ville.
Je fais de même pour ma part. Ce qui m'a permis de constater que les tuyaux d'évacuation des eaux pluviales des maisons situées en bordure de la rue du 18 juillet 1918, en cours de réfection, étaient prévus en pvc, bien que faiblement enterrés sous le trottoir.
De la casse en perspective si un véhicule roule sur le trottoir, surtout en période de dégel.
Et la présence de 2 coudes à 90° et une contre-pente du tuyau entre les deux.
En principe, on pose un regard au pied du tuyau de la descente d'eau de pluie, et on utilise des coudes à 45° et pas à 90° pour éviter qu'il ne se bouchent.
Les regards servent à "tringler" les tuyaux s'ils se colmatent et à changer facilement le tuyau de descente sans avoir à casser le trottoir.
Travaux à l'économie ? Dommage.

Beaucoup de communes voient leurs terrains municipaux ou leurs stades occupés par des gens du voyage.
La raison : "nous devons rester près de Paris car nous avons un enfant hospitalisé dans un établissement parisien". Cette excuse, je l'avais entendu 2 fois à un an d'écart de la part d'un même groupe. J'avais exprimé ma compassion car rien n'est plus triste qu'une maladie qui n'en finit pas de guérir.  Le bulletin d'hospitalisation ? Jamais vu.