Réponse
Notre ancien adjoint, Monsieur Presson, occupe le terrain depuis quelque temps.
Je me permettrais cependant d'apporter un correctif limité à deux de ses affirmations.
La première concerne l'implantation de la statue d'Alexandre Dumas, soumise selon lui au diktat de la DDE.
Je puis affirmer que la DDE n'avait plus son mot à dire à l'époque car Monsieur Presson comme ses collègues du conseil municipal avait approuvé le plan d'occupation des sols et donné à charge de la commune l'instruction des droits à construire plusieurs années avant. Je l'avoue, c'est moi qui ai choisi l'emplacement de la statue. Et je ne regrette rien.
La seconde relative au coût futur de réparation des pavés de la place.
S'il peut y avoir une diminution pour vétusté en cas d'indemnisation directe par une assurance, ou par une décision de justice civile, il n'y en a pas en justice administrative.
Je citerais un exemple : lorsque la couverture de la médiathèque s'est mise à fuir (je n'ai pas eu pour ma part l'idée de dire que c'était de la faute du maire d'alors - Monsieur Bouaziz), nous avons un peu bataillé avec l'assureur, le menaçant d'un recours devant le tribunal administratif jusqu'à ce qu'il accepte de rembourser jusqu'au dernier centime (252.459 € !)
Fort de cette expérience, et attristé par l'état des pavés, j'ai proposé à Monsieur Pruski de l'aider dans cette affaire. Il ne m'a jamais répondu. J'espère qu'il se débrouillera aussi bien, car pour être remboursé, il faut préparer un dossier bien étayé.