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Le blog de Renaud BELLIERE
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30 avril 2014

Rythmes scolaires

Une entreprise privée aurait déjà fait faillite si elle était pilotée comme le gouvernement pilote les rythmes scolaires.
La réponse arrivera finalement en mai. Facile pour s'organiser !
Chaque ville décidera. Dans l'Aisne, compte-tenu de la particularité du transport scolaire géré par le département, je pense qu'il y aura un jour unique de "rythme". Mais ailleurs, non.
Lesquels rythmes prennent un nombre important d'heures qui permettaient aux enseignants de boucler sereinement, mais surtout complètement des programmes de plus en plus chargés (premiers secours, civilité ...). Au lieu de cela, selon les villes les enfants feront des activités plus ou moins intéressantes. Mais là n'est pas encore le problème qui va se poser pour l'Etat via l'éducation nationale.
Comment fera t'il pour gérer les mi-temps, les remplacements, les décharges des directeurs si dans telle commune l'école est écourtée de 3/4 h le lundi, dans telle autre le jeudi, dans la troisième la 1/2 journée complète, etc ... Si la décharge du directeur a lieu le lundi ou le vendredi, etc ...
Un beau bazar qui va retomber sur l'Etat qui ne l'avait peut-être pas vu venir.

P.S. Réponse à M. Duballe : le maire n'est pas "agent de l'Etat" pour la cérémonie du 10 mai. L'organisation en était laissée à l'appréciation de chaque commune. Ca n'est pas vraiment de la politique, c'est du fonctionnement territorial.
C'est pourquoi, il faut parfois accepter que des candidats d'expérience ou formés puissent se présenter aux élections.

Il est vrai qu'un référendum aurait pu avoir lieu, ne serait-ce qu'au sein du conseil !

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Commentaires
N
Deuxième phase de dégradation de la semaine scolaire<br /> <br /> <br /> <br /> On a fait les rythmes scolaires pour alléger la journée de l'élève.<br /> <br /> On a donc sacrifié la pause en milieu de semaine, le mercredi matin.<br /> <br /> Un an après, on tasse la journée de l'élève. Il n'y a plus classe le mardi après-midi.<br /> <br /> C'est le pousse toi que je m'y mette.<br /> <br /> <br /> <br /> Inversion des principes:<br /> <br /> <br /> <br /> Les activités péri-scolaires devaient s'adapter au temps d'apprentissage scolaire, or c'est le temps scolaire qui s'adapte aux activités péri-scolaires.<br /> <br /> <br /> <br /> Non aux nouveaux rythmes scolaires.<br /> <br /> Retour à la semaine de quatre jours.
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R
Le problème des rythmes scolaires est la conséquence du changement de ministres. Dans le privé c'est la même chose si le patron change.<br /> <br /> Je viens de faire une réponse à Gilles DUBALLE qui va dans votre sens. A Villers-Cotterêts on honorait plus spécialement le Général DUMAS DE LA PAILLETERIE , né esclave à Saint Domingue et l'on faisait une pierre deux coup sur l'abolition de l'esclavage qui d'ailleurs l'instigateur est l'écrivain Claude RIBBES. Je pense que vous vous en souvenez.
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