Tuer le commerce local

Le livre de V. Trierweiler s'arrache.
J'ai cru comprendre que les ventes sur Amazon avaient explosé.
Alors que certains petits et vrais libraires ne l'avaient pas encore reçu.
Mais bon sang de bon sang, ne peut-on pas apprendre à acheter sur place, dans "nos" magasins ? Facile de se désespérer de la désertification alors qu'on commande par internet. Cela se comprend pour des produits très particuliers, mais un livre ... D'autant que c'est le genre d'achat (et celui-ci particulièrement) que l'on peut attendre quelques jours.

Tout comme ce commentaire lu sur un autre blog de Villers : "On comprend pourquoi les garages de villers cotterets sont à évités (sic)"
Pourquoi jeter l'opprobre sur tous les garages cotteréziens pour un problème surgi dans un établissement, et pour lequel il y a peut être une explication (disponibilité des pièces, ... que sais-je !)
Soyons un peu fiers de notre ville, ça ira mieux.

Comments

[Fandor]

Et quand, alors que le pays croule sous la dette et le chômage, jouer les Daft Punk en scooter à 2 heures du matin, rue du Cirque, pour aller rejoindre sa maitresse et se faire livrer les croissants (chauds, j'espère...) par un officier de sécurité c'est être digne de la fonction qu'on exerce, c'est être quelqu'un d'équilibré et de sensé ? C'est être un sac plein de quoi ?

[Némesis]

Qualifier Valérie Trierweiler d "'hystérique, de bonne femme et de sac rempli d'hormones en folie", cela c'est vulgaire.

Nul besoin de se poser la question.

[Penone.]

Se renseigner un tantinet sur les conditions de travail des salariés Amazon .

Se renseigner sur le fonctionnement des listes des meilleures ventes d'Amazon.

Se demander si Amazon vend réellement de la culture ou plutôt un brouet infect de contrefaçon de culture .

Se demander si le danger ne viendra pas d'Amazon qui crée un monopole sans riposte possible avec l'accord tacite des clients Amazon.



Se demander s'il n'est pas plus pertinent d'acheter un livre dans une librairie comme on achète un parfum chez un parfumeur et non dans une surface de vente telle Sephora.



Se demander si le livre de T. est un livre digne de ce nom et s'il n'est pas d'avantage un ensemble de feuilles écrites par une hystérique , une bonne femme ,un sac rempli d'hormones en folie.



Se demander quels sont les critères d'un vrai livre.







Donc, se demander quelques bricoles à soi-même avant de participer au grand carnaval de la débilité avec plumes fournies comme étendard de la médiocrité .



Se demander, ça aide à ne pas être vulgaire.









Salutations aux éventuelles réactions ulcérées .

[Roger PRESSON]

Le brulot de V T se, vend comme des petits pains , pourquoi Livre sur l'adultère , le sexe , l'argent , le pouvoir fascine le peuple . On le veut par tous les moyens, Internet se régale.

Pendant ce temps des petits écrivains locaux rament pour vendre quelques livres sur l'histoire locale . La forêt , les comtes , des périodes sur la mémoire et les commémorations , bref le devoir de mémoire. C'est trop sérieux , la vente est difficile.

[Ribouldingue]

Acheter sur place dans une librairie d’accord mais lorsque vous vous trouvez face à ce type d’affiche collée sur les vitrines de certains libraires :



NOUS SOMMES LIBRAIRES

NOUS AVONS 11000 LIVRES

NOUS N’AVONS PAS VOCATION A ETRE LA POUBELLE DE TRIERWEILER ET DE HOLLANDE.

« MERCI POUR CE MOMENT » DE COMPREHENSION.



cela ne vous donne pas franchement envie d'entrer dans une librairie!



Que ces messieurs dames les libraires ne viennent pas verser des larmes de crocodiles et se plaindre de la mort du petit commerce.

Au moins, quand je commande sur Amazon, le sans-dents que je suis ne se fait pas insulter.



Il ne faut jamais mépriser le client, sinon il va acheter ailleurs…..