Et maintenant ...
Je pense que chacun, lors du choix du candidat s'est posé la question de l'application de son programme. Hum ?
C'est-à-dire du 1er ministre qu'il choisira (du moins sa tendance), et de la majorité parlementaire qui le soutiendra.
Une des causes de l'échec de F. Bayrou en 2007 a été qu'on doutait qu'il puisse réunir une majorité pour gouverner.
Cette fois-ci, ce sujet a été occulté, mais notre constitution n'a pas changée.
Il paraît douteux qu'un des 2 candidats en lice puisse obtenir une majorité parlementaire sous son seul nom.
Donc, pas de problème question programme, ce ne sont aujourd'hui que de belles paroles.
Pour ma part, compte-tenu de ces programmes, je m'en réjouis.
Le problème des primaires est qu'elles obligent les candidats à caricaturer les choses, et qu'elles divisent des sympathisants qui ont ensuite du mal à se réconcilier. Ça s'est révélé vrai à droite, et totalement destructeur à gauche.