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Le blog de Renaud BELLIERE
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29 février 2012

Nos élus

Le maire n'informe pas le conseil sur le déroulement de l'expertise concernant l'état des pavés du centre ville.
J'ai heureusement des "sources bien informées" qui me renseignent.
Le conditionnel est évidemment de rigueur car les opérations d'expertise sont en cours. 
Le manque de résistance des pavés serait reconnue, mais des intervenants auraient disparu ce qui rend difficile l'imputabilité des responsabilités à ces "disparus".

Lorsqu'on lit dans le Villers des Infos, sous la signature d'un adjoint aux travaux, que le le centre ville est dans un tel état de délabrement qu'il a fallu saisir le tribunal administratif  afin de déterminer les responsabilités, nous comprenons que vraiment, l'équipe municipale actuelle  ne comprend rien à rien et se contente d'être dans la polémique.
Parce que la dégradation des pierres du centre ville est effectivement catastrophique, et qu'il fallait donc saisir le tribunal au plus vite non pas pour déterminer les responsabilités (c'est l'affaire des juges, puis des assureurs), mais pour faire réparer.
Quelle belle jambe cela ferait de savoir que le responsable est le poseur ou le carrier si la ville devait payer les réparations.
Le raisonnement de notre adjoint est vicié car il se trompe en confondant l'outil qui sert à fabriquer l'ouvrage et l'ouvrage. 
Dommage, car on est en droit d'attendre de la clairvoyance de la part d'un élu appelé à gérer et négocier pour le bien de ses concitoyens. 

Dommage également pour cette équipe d'entrer dans ce jeu, car il lui sera difficile une fois le jugement rendu, d'essayer de désigner comme responsable le maire que j'étais, et qui est la première victime avec la ville, car voir cette belle réalisation se détériorer est une véritable souffrance. . 

Il y aurait mieux à faire que polémiquer.
A commencer, et c'est du domaine de l'adjoint sus-cité, par réaliser des rues mieux faites et moins laides que l'avenue Jean Jaurès, récent fleuron du savoir-non faire de notre bonne municipalité. 
Quand je pense que le maire en a fait, par son plan de circulation, la principale entrée de Villers en venant de Paris ou Compiègne !
Quelle belle image de Villers que cette voie traitée à la façon d'une autoroute ! Digne du modernisme des années 60.

Pourquoi cette exaspération de ma part ?

A t'on passé notre temps à critiquer le Dr Bouaziz parce que la toiture de la médiathèque fuyait et qu'aujourd'hui, il a fallu remplacer toute la climatisation ?
Non, car n'importe qui sait que ce n'était pas le Dr Bouaziz qui avait fait la couverture ou posé le climatiseur. Il a lui aussi certainement été mécontent de constater l'apparition de ces défauts de construction.
Il est vrai que nos élus ne sont pas n'importe qui. Hélas. 

 

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Commentaires
F
LE TOUR D’UN HOMME DU MONDE EN 90 SECONDES<br /> <br /> <br /> <br /> Il n’avait pas de secrétaire,<br /> <br /> Quand il n’était pas présent,<br /> <br /> Il était du reste ailleurs.<br /> <br /> <br /> <br /> Il avait des conseillers,<br /> <br /> Pour lui porter ses affaires,<br /> <br /> On louait ses qualités<br /> <br /> Car il avait la manière,<br /> <br /> Quand il n’avait rien à faire.<br /> <br /> <br /> <br /> Chaque fois que c’était raté, <br /> <br /> C’ n’était pas très réussi,<br /> <br /> On devait l’avoir trompé,<br /> <br /> C’n’était plus trop ses dossiers.<br /> <br /> <br /> <br /> Il disait qu’ ses conseillers,<br /> <br /> Lui cachaient la vérité,<br /> <br /> Sûr qu’elle était bien gardée,<br /> <br /> N’ayant pas de temps à perdre,<br /> <br /> Il leur confiait même la clef.<br /> <br /> <br /> <br /> Il voulait bien dépenser,<br /> <br /> Et aux pauvres tout épargner,<br /> <br /> Aux soirées de V.I.P,<br /> <br /> Les pauvres n’étaient pas conviés.<br /> <br /> Son trop long cours de mandat,<br /> <br /> L’occupant à tapisser,<br /> <br /> Et regarder la télé,<br /> <br /> Il n’ croisait jamais leur pas.<br /> <br /> <br /> <br /> Sûr qu’il rouait l’opposition,<br /> <br /> De manière délibérée,<br /> <br /> Puisqu’il n’était pas forcé,<br /> <br /> Elle était nommée coupable,<br /> <br /> D’avoir pris même en otage,<br /> <br /> De pauvres’ gens qui disait-il,<br /> <br /> Etaient nés là sans fortune<br /> <br /> Qu’il appelait des malheureux,<br /> <br /> Puisqu’ils n’vivaient pas comme lui<br /> <br /> Dans le confort, d’un bureau.<br /> <br /> <br /> <br /> Il veillait que l’opposition surtout ne puisse pas répondre,<br /> <br /> Inventait des stratagèmes par lesquels il l’empêchait,<br /> <br /> A coup d’ coupures de courant,<br /> <br /> Les micros n’fonctionnant plus,<br /> <br /> toute réponse étant rendue<br /> <br /> Ne pouvait plus être audible<br /> <br /> Puisqu’on entendait plus rien,<br /> <br /> Sans vouloir même retranscrire.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> A l’appui d’ sa théorie,<br /> <br /> Il tenait à souligner,<br /> <br /> N’avoir pas vu un seul pauvre,<br /> <br /> Dans les rues de sa petite ville,<br /> <br /> Surtout quand il n’sortait pas,<br /> <br /> Que les pauvres s’déplaçaient en couple.<br /> <br /> <br /> <br /> Il était très respecté<br /> <br /> Surtout par les ouvriers,<br /> <br /> Les autres bien mieux renseignés<br /> <br /> Ne l’écoutaient pas parler.<br /> <br /> <br /> <br /> Au frigo neuf, dans son beurre,<br /> <br /> Son couteau tenait bien droit,<br /> <br /> S’il avait déjà servi ,<br /> <br /> C’ n’était pas pour un grand nombre,<br /> <br /> On trouvait la lame jolie,<br /> <br /> Certes elle était vraiment belle,<br /> <br /> Il avait pris surtout garde,<br /> <br /> De ne pas l’avoir tordue.<br /> <br /> <br /> <br /> Il faisait souvent la leçon,<br /> <br /> Aux moineaux, les gens de peu<br /> <br /> Disant que pour eux le mieux<br /> <br /> Etait vraiment de courir<br /> <br /> Par quoi disait-il ainsi<br /> <br /> Vous changerez de place très vite.<br /> <br /> Le pire était donc pour eux <br /> <br /> De s’asseoir, leur disait-il,<br /> <br /> C’est renoncer à « debout »,<br /> <br /> Quand on sortait du bon pain,<br /> <br /> Lui montrait au loin, là-bas<br /> <br /> Un coin qui n’était pas là.<br /> <br /> <br /> <br /> Ceux qui goutaient des tartines<br /> <br /> Etaient peut-être plus malins<br /> <br /> Ils étaient un peu moins bêtes<br /> <br /> Disaient-ils que leur grand maître.<br /> <br /> Ils tenaient à découvrir<br /> <br /> Quel était le goût du pain<br /> <br /> On sait qu’ils y parvenaient<br /> <br /> Il le mangeait à grand frais.<br /> <br /> <br /> <br /> C’est surement une joie sans borne,<br /> <br /> Si les autres n’en mettent pas,<br /> <br /> Et pour lui pareillement,<br /> <br /> De tenir la part des autres,<br /> <br /> Et les voir courir après,<br /> <br /> C’qui leur appartient en propre,<br /> <br /> Il disait que c’était à eux,<br /> <br /> Car il était généreux.
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L
Quelle ne fut pas ma surprise tout à l'heure en arrivant du carrefour rue du Gal. Leclerc / rue Jean Jaures, d'apercevoir au loin un immense code-barres, et en m'approchant de me demander si on avait réalisé une piste d'atterrissage à Villers ! <br /> <br /> Quel dommage de traiter si mal cette rue, et quelle occasion ratée !<br /> <br /> Pourquoi ne pas avoir profiter des travaux pour réaliser une belle avenue, bordé d'un mail piétonnier et d'une piste syclable protégée, et de plantations d'arbres majestueux apportant de l'ombre l'été, car pour quiconque l'emprunte à pieds (et nous sommes nombreux à le faire), elle n'est vraiment pas agréable par temps chaud.<br /> <br /> Peut-être n'est-il pas trop tard pour l'améliorer, en remplaçant ces bandes blanches disgracieuses par des aplats de résine beige formant de larges passages protégés, de redessiner les places de stationnement et de planter des arbres...et peut-être une piste cyclable ? On peut rêver, non ?
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