1ère pierre maison de retraite
Première pierre de la maison de retraite de Paris, posée mercredi dernier.
En présence de représentants parisiens et des membres de la majorité municipale et de plusieurs chefs de service de la mairie et de la communauté de communes. Petit comité pour maxi pot ? (je n'y suis pas resté).
Seuls élus de l'opposition : Michel Laviolette et moi (qui n'avait reçu aucune invitation - pas plus que les autres membres de l'opposition !)
Beaucoup de discours souvent convenus, parfois drôles pour l'architecte que je suis :
Un long laïus sur la surface des chambres et l'éclairage naturel est certes intéressant, mais c'est la loi.
Une première pierre, en fait un parchemin noyé dans l'alvéole d'un muret en parpaings comprenant des éléments cassés réparés avec du ciment et des joints irréguliers, le tout non conforme aux règles de l'art (amusant, non ?).
Dans le registre des autres petites anecdotes sans importance, notre député a appelé le maire de Paris Monsieur "de l'année", mais s'est vite repris.
Plus sérieusement, l'adjointe de la capitale et la directrice du CAS ont bien rappelé que cette maison de retraite était destinée aux personnes âgées sans abri de Paris, avec des places pour les habitants de l'Aisne.
Le député rappellera que Villers-Cotterêts étant dans l'Aisne, les cotteréziens pourront être accueillis dans cette maison.
La nuance est d'importance.
Enfin dernière info, la ville de Paris recherche un nom de femme pour baptiser cette maison de retraite