Campagne
On sent comme un frémissement dans le landerneau.
Le débarquement de notre dépitée de la 5ème circonscription fait beaucoup parler ou plus exactement inquiète beaucoup celles et ceux qui qui appelaient à la réconciliation et au travail en commun.
Car ne l'oublions pas, gérer une ville, c'est avant tout une bonne connaissance locale, du travail, de l'entregent et de l'imagination.
La connaissance locale pourrait commencer par la connaissance du nom des journalistes locaux; ça évite de faire désordre et c'est plus respectueux.
Lorsque notre sauveuse déclarera briguer la municipalité de Villers (sans y être forcément tête de liste ???) et renoncer à tout autre mandat futur qui la distrairait de sa mission, je croirais en sa sincérité et son amour pour notre ville.
Pour l'instant, j'y vois une manoeuvrière qui se moque autant de Ronchères dont elle est maire que de Villers.
Elle veut du pouvoir : ce côté UMP dominateur est souvent exaspérant.
N'oublions pas qu'une élection municipale doit rassembler.
On n'est pas élu par un parti, mais bien parce qu'une ville adhère et estime que vous êtes celle ou celui qui sera le plus apte à gérer au mieux sa ville.
Une de mes amies m'a confié que penser qu'elle serait la seule à pouvoir sauver Villers était une insulte faite aux cotteréziennes.
Quand je pense que la force de MM Pruski et Briffaut tiendra à l'espérance d'un sauvetage politique d'une ancienne députée ...
Quant à moi, rendu triste avec ces histoires, je pense aller me mettre au vert ... à Ronchères, comme 1er adjoint