Conseil municipal
Séance de conseil municipal ce soir.
Je n'y serai pas car une importante réunion professionnelle m'en empêche.
Dommage, j'y aurai retrouvé Claude Goldstein, une amie d'enfance qui y fera son entrée..
Il est évidemment dommage que les enveloppes distribuées aux conseillers municipaux soient trop grosses pour rentrer dans les boîtes aux lettres normalisées, et qu'il faille aller chercher les propositions de délibérations au poste de police.
Le problème n'étant pas le déplacement, mais le retard avec lequel nous pouvons prendre connaissance de ces projets.
S'agissant de documents budgétaires, il faut un certain temps, pour ne pas dire un temps certain pour les analyser. Analyse d'autant plus difficile que les renseignements demandés sont longs, très longs, très très longs à obtenir de la mairie.
En première lecture rapide, nous retiendrons que Monsieur Pruski se plaint à tort du désengagement de l'état au vu du chèque reçu de l'état.
Et que le budget a un air d'insincérité certain au vu des sommes budgétées, mais non dépensées.
Nous avions rétabli les finances quoiqu'en dise notre bon maire (d'accord, c'est de bonne guerre), mais maintenant, il pourrait réduire l'impôt puisqu'il n'entretient quasi plus la ville.
Sans compter le programme de vente des logements communaux.
Vente que les occupants (employés communaux ou communautaires) apprennent brutalement et sans ménagement par lettre recommandée avec accusé de réception. Un minimum d'humanité voudrait qu'on les prévienne au moins de vive voix.
Nous, nous vendions lorsque l'employé partait (de lui-même). Autres temps, autres moeurs..