Casse briques

Silence radio côté mairie en ce qui concerne la réparation des pavés du centre ville.
Les pavés sont d'évidence gélifs. Pourquoi ? Parce que la veine dont proviennent ces pavés était mauvaise; parce que le traitement initial de brûlage destiné à les rendre non glissants a ouvert des fissures ou parce qu'il y a eu un excès de sel lors des périodes de gel ? Les experts le diront.
Sans compter une mauvaise habitude que nous combattions et qui est devenue aujourd'hui coutumière : les véhicules stationnent de plus en plus sur les trottoirs devant la mairie ou sur la place. Pas un jour ou une voiture ou un petit camion ne soit sur ces espaces réservés aux piétons.
Même les briques de la place commencent à s'abîmer. C'est un comble.
Et cela, c'est bien à cause d'une municipalité qui accepte ce genre de comportement.
Et malgré les nettoyages fréquents par les employés communaux, la place devient de plus en plus sale.
Combien de fois aussi ai-je rappelé que la patine de la statue d'Alexandre Dumas devait être entretenue. Autant parler à un sourd ...
La statue se dégrade et le maire n'en a "rien à faire". Comme la place, comme l'environnement de Villers.
La ville devient sale, perd de son attrait, et prend de plus en plus le chemin d'une ville dortoir.
On sent d'ailleurs que c'est la politique (consciente ou non du maire).
Tout son discours est basé sur l'hypothèse d'une ville pauvre, sans emploi, dont on rejette les commerces sur l'extérieur.
Un peu de culture et de sports (les mêmes recettes qu'en banlieue nord parisienne) et l'ambition politique s'arrête là.